Lucie Eidenbenz développe un langage chorégraphique et performatif, avec une approche qui pose la question du public, du contexte, et des interactions entre des questions d’ordre à la fois social, politique et poétique.
En 2005, elle suit la formation pour artiste chorégraphique Exerce dirigée par Mathilde Monnier au CCN de Montpellier. Après des études en sciences sociales à l’Université de Lausanne, elle est boursière à Danceweb, Impulstanz Festival Vienna, puis suit la formation Transforme à Paris, et le programme a·pass advanced performance and scenography studies à Bruxelles.
Ses pièces Traum Project (2010), Animals are like water in water (2011),The Boiling Point (2011), Last Plays (2014), Tschägg (2015), et Faune, faune, faune (2019) tournent en Suisse et en Europe dans divers contextes, tels que le théâtre de l’Usine, le Festival Archipel (CH), Xplore Dance Festival Bucharest (RO), le Festival Il faut brûler pour briller (FR), Festival Insoliti (IT), Festival la Becquée (FR), Festival Amplitudes, Zeughaus Brig, Fabriktheater Zürich (CH), La Gaîté Lyrique (Paris), Tanzhaus Zürich, Tanzfaktor Interregio (CH), Festival de la Cité (CH), Dock11 Berlin (DE), La Briqueterie, Paris; Klap Maison pour la danse, Marseille, L’Hexagone Scène Nationale de Meylan (FR), etc.

En 2015, TSCHÄGG reçoit la mention spéciale du jury au Concours Reconnaissance. La pièce part en tournée au Fadjr International Festival en Iran, janvier 2018.
En tant qu’interprète elle travaille avec Laura Kalauz, Marco Berrettini, Maya Boesch, Luna PaeseMurat AdashOlivia Csiky Trnka, Pietro Marullo, Superamas, Yan Duyvendak, Michael Helland et Olivier Dubois.
Elle fait partie du réseau d’artistes Sweet&Tender Collaborations, dont elle est curatrice de l’édition 2012 à la Dampfzentrale à Berne. https://fortheendoftheworld.wordpress.com/, ayant participé aux éditions précédentes depuis 2007 à Performing Arts Forum (FR), Porto (PT), Hamburg – K3 (DE), Mexico/Oaxaca (MX), etc.